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Don_Angelo

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Messages posté(e)s par Don_Angelo

  1. Bonsoir à tous,

     

    Trois ans jours pour jours après avoir vu Skyfall, je sors de sa suite Spectre ce soir même.

    Spectre est selon moi la conclusion d’une trilogie officieuse initiée par Casino Royale et Skyfall, qui met de côté Quantum of Solace. J’écrivais au sujet de Skyfall qu’il grossissait le trait d’un reboot amorcé dans Casino Royale en réintroduisant les personnages clés d’une saga vieillissante tout en renouant avec ses ingrédients iconiques. La nouveauté étant que Bond n’est plus tellement un superhéros qui combat des supers-vilains mais un personnage de tragédie fragilisé par quelques blessures émotionnelles. Cette analyse semble se confirmer dans Spectre qui en est la suite directe.

     

    Le post qui va suivre contient les éléments clés de l’intrigue, aussi je ne recommande pas de lire ce qui suit si vous ne l’avez pas encore vu.

    Là où Skyfall nous laissait avec un Bond vieillissant qui avait été poussé dans ces derniers retranchements, endeuillé par la perte de son grand amour (Vesper Lynd) et de sa mère de substitution (M), Spectre s’ouvre sur un agent rajeuni et redevenu une machine à tuer, amateur de bons-mots et coureur de jupons. La menace qui pesait sur le MI6 et la section 00, accusée d’être un antique dinosaure dépassé, est incarnée par Max Denbigh (Andrew Scott, qui incarnait Moriarty dans Sherlock) résolu à la démanteler. Cette séquence d’introduction nous apprend aussi que des morts vont ressurgir du passé. S’ensuit un jeu de piste qui se dénoue avec une réunion du Spectre, à laquelle James assiste, où le grand vilain du film et la grosse brute sont introduits dans la plus pure tradition théâtrale Bondienne. C’est ici que je situe le point culminant du film après lequel il va lentement s’effriter.

     

    Les scènes d’actions qui vont suivre sont filmées de manière efficace, mais ne génèrent pas beaucoup de tension, qui sera d’ailleurs désamorcée par quelques notes d’humour qui ne sont pas très à propos. Le film montre ici ce qui sera un de ses gros points faibles : un ton inhomogène et une incapacité à impliquer le spectateur. Bond n’est pas vraiment mis en danger ici.

    Le film continue dans le fan service en calant quelques références amusantes aux anciens films, et réintroduit quelques gadgets. Il est révélé également que le père du vilain, Oberhauser avait recueilli Bond après la mort de ses parents et avait fait office de père de substitution avant que lui et son fils ne meurent dans une avalanche. L’intrigue mène finalement Bond à traquer White, que nous avions vu dans Casino Royale et responsable de la mort de Vesper. Ce dernier le mènera vers sa fille Madeleine Swan, la James Bond girl de cet opus, avant de se suicider. Là encore le film paraphrase les opus précédent avec la séquence du train, qui a pour double objectif de tisser des liens entre Bond et Madeleine et de réintroduire la grosse brute.  Et cette paraphrase pose un vrai problème : dans cette seule séquence de quelques minutes, les deux personnages sont censés développer la même alchimie que Bond et Vesper dans Casino Royale. C’est également ici que la brute est éliminée alors qu’il était le seul facteur menaçant de ce film envers Bond.

     

    Les deux héros sont alors emmenés au repère du grand vilain de l’histoire, Franz Oberhauser ou on nous révèle enfin son grand dessein : développer un réseau de surveillance pour les services de sécurité nationaux qu’il va en fait contrôler. Sa motivation principale, est qu’il déteste Bond en raison des liens qu’il avait avec son père, faisant de Oberhauser la source invisible de toutes les pertes qu’a subit Bond, de son père de substitution à sa mère de substitution en passant par Vesper. Et si la symbolique n’était pas encore assez lourde, les scénaristes enfoncent le clou en expliquant qu’Oberhauser a tué et renié son père en prenant le patronyme de sa mère Blofeld. Réduisant le grand vilain de ce film au statut de copie étrangement similaire à celui du film précédent.

    Le pire est encore à venir puisque Bond s’échappera au moyen de sa montre gadget, révélant à Madeleine qu’il l’aime. Le dernier acte se passe à Londres où Blofeld sera finalement arrêté par Bond qui ne le tue pas, montrant ainsi que son amour pour Madeleine l’a guéri et mis fin à sa soif de tuer.

     

    Cet opus a le mérite de clore l’arc narratif de Bond initié dans Casino Royale, et introduit quelques bonnes idées, mais peine à sortir de l’ombre de Skyfall auquel il emprunte trop d’éléments. D’une manière générale, ce Bond se perd dans les hommages et n’arrive pas à imprégner le spectateur comme les deux opus de la trilogie à laquelle il se rattache. On reprochera au scénario et à Mendes d’avoir trop accentué le caractère théâtral de la réalisation, laissant les ficelles de tragédie grecque qu’il emprunte beaucoup trop apparentes. Il n’était pas nécessaire de donner à Blofeld ses motivations de parricide/fratricide, d’autant que le film ne donne pas assez d’espace à ces éléments pour bien se mettre en place. Ces faits sont brutalement lancés dans un dialogue d’exposition qui s’inscrit lui-même dans un curieux duel avec Bond qui n’est pas avare de bons-mots pour essayer de le ridiculiser. On peine alors à le prendre au sérieux. Il manque entre Madeleine et Bond l’alchimie que Casino Royale avait su insuffler à l’idylle Vesper/Bond. C’est d’autant plus problématique que cette relation est supposée guérir Bond de sa blessure amoureuse et mettre fin à sa soif de vengeance meurtrière. Trop de fan-service et de punch-lines, pour au final ne pas développer convenablement les personnages, de l'action pas franchement emballante.

     

    Le plan final avec Bond et Madeleine filant vers l’horizon au volant de l’Aston DB5 restaurée a des airs de retraite et n’est pas sans rappeler Au Service Secret de sa Majesté dans lequel Bond épousait sa James Bond Girl. Cette scène qui véhicule deux messages contradictoires : Bond raccroche mais reviendra, est très représentative de l’impression que laisse ce film.

  2. Je ne sais plus dans le détail de comment cela fonctionne, mais les domaines redirigent tous vers le .com

    Si tu tapes dans le navigateur morebacks.fr, morebacks.org, morebacks.net tu seras redirigé automatiquement sur morebacks.com

     

    je dis un domaine et 4 extension par abus de langage:

    domaine = morebacks

    extension = {.net,.org,.com,.fr}

     

    Par actualisation j'entends remettre à plat qui fait quoi et éventuellement voir si ce qui a été fait il y a 7 ans peut être amélioré. Je remarque par exemple que la redirection en place sur les domaines fonctionne mal sur les liens internes. Ca marchait parfaitement la dernière fois que j'ai vérifié, mais ça remonte à 2 ans au moins. De plus l'offre souscrite auprès de OVH pour les domaines est assez ancienne, il y a peut-être plus avantageux/pratique maintenant.

  3. C'est amusant la question revient TOUS les ans depuis 7 ans...

    La facture correspond à 1 domaine et 4 extensions.

    morebacks.com/org/net/fr

     

    ça avait été voté ainsi à l'origine en février 2008. On s’appelait post-posse à l'époque...

    Merci à carambar d'avoir eu la réactivité adéquate pour s'occuper de l'hébergement et des NDD cette année.

     

    A ce titre, précisément parce que cela fait 7 ans que cette mécanique est en place peut-être serait-il bon d'actualiser un peu le tout.

    Désolé pour cette réponse expéditive je suis assez submergé ces derniers temps, je vous reviens plus clairement sur qui fait quoi et à quel niveau dès que possible.

  4. L'Edition 97 est l'édition spéciale, avec des ajouts. Pour preuve de nouveaux artworks avaient été fait, et ils sont restés jusqu'à l’édition 2004 et les visuels assez 'toshopés qu'on connait.

    Exact sur le fait qu'elle ait existé en VF, le coffret était couleur Or. la VO était couleur argent. Pour la France bien sûr... C'est celle que j'avais. J'ai un gros doute si ce n'était pas la version widescreen...

    A l'époque TF1 avait diffusé l'empire contre attaque et le retour du jedi dans l'edition du 20ème anniversaire peu avant Noël, et comme par hasard le fameux coffret VHS est sorti... Étrangement j'ai du faire parti de ces milliers de marmots qui ont cassé les oreilles de leurs parents pour l'avoir à Noël. J'ai eu un temps l'édition en VO et on m'avait prêté l’édition originale en VHS.

     

    Le lendemain dans la cours de récré bizarrement ça causait que de ça. Pire c'était la compèt pour savoir qui avait pu regarder Jedi jusqu'à la fin en faisant céder Papa/Maman...*

     

    Pour l'anecdote le début de la VHS tu avais un petit reportage qui te montrait les ajouts de Lucas, et je n'oublierai jamais la conclusion de ce reportage:

    "Now sit back and get ready to experience, Georges Lucas' definitive vision of The Empire Strikes Back, with the second installment in the Star Wars Trilogy Special Edition..." avec la voix bien testostéronée et l'emphase sur le Special Edition...

  5. Une recherche amazon plus loin, et il me semble que c'est bien à cette édition que je fais référence:

    http://www.amazon.fr/Star-Wars-Episode-%C3%89dition-Limit%C3%A9e/dp/B000G5R78W/

     

    Elle concurrençait notamment cette edition là:

    http://www.amazon.fr/Guerre-%C3%A9toiles-Trilogie-LEmpire-contre-attaque/dp/B0001J0R26/

    qui reprenait le design de l'edition VHS de 1997 (version en VO) si je ne dis pas de bêtises.

  6. Beaucoup de choses à dire sur la BA et les questions qui ont été posées. Trop peu de temps pour répondre à tout malheureusement.

    Pour ce qui concerne l'édition originale, elle existe sous plusieurs formes:

    - les VHS

    - les Laser Disc

    - DVD

    Je ne me limite ici qu'aux versions officielles. La plus simple à trouver, et la moins onéreuse est la version DVD. En 2004 avec la sortie de la revanche des sith, des modifications ont été faites, sur le master de l'édition de 1997, notamment l'incrustation de Christensen à la fin de Jedi (qui est donc antérieur à la sortie BR).

     

    A ce titre plusieurs réédition, que ce soit des disques ou des films sont ressorties.

    Une des éditions DVD étaient intitulé édition spéciale, et les films étaient vendus à l'unitée. Chaque film comporte deux disques qui contiennent:

    - la version retouchée de 2004 (qui est différente encore de la version BR que nous connaissons maintenant).

    - un transfert 4/3 "out of the box" des éditions originales non retouchées. Par exemple pas de Star Wars Episode IV dans le déroulement des titres de "A New Hope"... Pas de la fameuse scène de dialogue entre Han Solo et Jabba qui est un ajout de 1997...

    La qualité des transferts de cette édition "originale" est ce qu'elle est, càd pas optimale. Mais à ce jour on peut encore les trouver assez facilement et surtout sans se ruiner...

    J'en possède un exemplaire et je peux donc attester que ce que je dis là est exact. La légende veut que les transferts Laser Disc de l'époque sont de meilleure facture que l'édition DVD, je n'ai pas pu le vérifier parce que le court sur ces éditions dépasse de très loin ce que je suis prêt à investir pour le vérifier.

  7. Pas vu Untold car le synopsis ne m'a pas inspiré...

    Sans spoil le prologue proposé par Coppola et celui proposé par Konami dans la série de jeux Castlevania m'étaient beaucoup plus convaincants.

     

    Mais vu que l'idée a l'air de plaire, rien n'empêche de faire un article commun afin d'être plus exhaustif.

  8. Eh bien je pensais commencer par le roman de Stocker et la pièce de théâtre qui a été écrite un peu après (et qui a servi de base à beaucoup d'adaptations au cinéma). Le roman de Matheson, dont j'ai vu les trois adaptations auraient pu figurer sur la liste, mais je pensais me pencher également sur ce qu'à écrit Anne Rice.

     

    Mais à la base je pensais surtout parler de films, mais vu que les liens avec les romans me semblent difficiles à ignorer...

  9. Alors, ce que je cherchais à faire c'était des sauvegardes régulière des contacts, et tant que j'y suis des sms. D'où l'appli, dont une mise à jour a supprimé le caractère périodique... charmant.

    Mon autre problème avec les contacts, c'est que cette saleté de gestion est infoutue de reconnaître les contacts par leur noms ou leur numéro de téléphone, je suis obligé de les associer manuellement, et par une magie que je ne m'explique pas, il réussit toujours à me trouver une xième déclinaison. J'ai bien vérifié, la synchronisation est activée sur mon compte google principal, (j'en ai plusieurs), et j'utilise une rom officielle. Sur ce point la rom Cyanogen s'en sort mieux mais ce n'est pas transcendant. Je subodore que le fait que j'ai été obligé de paramétrer le téléphone pour sauvegarder les contacts sur le mobile doit y être pour quelques chose, mais c'était ça où forcer le stockage google alors que le service n'a pas une disponibilité permanente...

     

    De toutes façons je m'en fiche un peu dorénavant, ce téléphone est en fin de vie, j'ai mes sauvegardes sur carte SD, je me débrouillerai pour faire les associations avec un programme et j'en profiterai pour faire la synchro moi même entre mes différents compte mails. Mais ça et les problèmes cités par DEF font que je vais vraiment devoir trouver un Android phone très convaincant pour ne pas migrer sur Windows mobile ou Blackberry.

  10. Déterrage de thread pour signaler que j'ai vu totalement par hasard la première adaptation du livre, The Last Man on Earth avec Vincent Price et revu I am Legend avec la fin alternative (la vraie fin). 

    Sans spoil, je peux maintenant dire que la fin alternative (qui est en fait la vraie fin) est beaucoup plus logique et beaucoup plus cohérente par rapport aux adaptations existantes.

     

    Point amusant, dans The Last Man on Earth, les infectés sont des vampires...

    La dernière étape pour compléter cette boucle est de lire le livre, mais de fait j'ai trouvé particulièrement intéressant de voir comment les analogies ont évoluée de 1954 à 2007 pour au final raconter une histoire et un message quasi-identiques.

  11. Han, messieurs comment que je vous aime !

     

    Dans mon cas,

    Moi Android m'exaspère de plus en plus, et en grande partie parce que mon terminal aura vécu si peu parce que devenu obsolète d'un point de vue logiciel... De fait je commence à me dire qu'en fait les solutions du genre Windows Phone et BlackBerry ça doit pas être si terrible surtout que ça a l'air de faire très bien ce qui me fait ***** depuis que j'ai décidé de faire le choix Android...

     

    Sans déconner le back-up des contacts faut installer une appli alors que ça doit être faisable nativement avec le compte Google ? Y'a pas longtemps j'arrivais à le faire très bien avec Outlook

    Quand je vois les capacités des Nokia Lumia, honnêtement pour en avoir manié un pendant quelques heures, je suis prêt à migrer sur du windows phone...

     

    Pour en revenir à ce que dis Loone, un parent s'est vu offrir un BB qui bien sûr est largement au dessus de ce qu'elle va utiliser... C'est quand même franchement agréable et en ce qui me concerne, mon droid vieillissant sera soit remplacé par un windows phone soit un BB. En plus le modèle que j'ai testé est un BB d'entrée de gamme. On est plus proche des 180€ que des 650€.

     

    Personnellement le système Android avait des atouts en ce qui concernait sa légèreté, et son aspect tweakable. Si je fais le bilan aujourd'hui, mon terminal que j'ai acheté en mai 2012 ? se voit plombé par des dépendances google quasi obligatoires pour que le noyau puisse supporter les services Google que j'estime de base (gmail, playstore). Les distributions customs ont des compatibilités extrêmement variables en fonction du téléphone. J'exagère à peine en disant que, de mon point de vue, ça vire à la course au renouvellement du hardware comme chez Apple. Downgrader un appli qui se met à jour automatiquement est un vrai cauchemar quand c'est possible, surtout quand on s’aperçoit...

     

    Bref tout ceci pour dire que je vais y réfléchir à deux fois avant de réinvestir dans un terminal Android.

  12. Petit coup de gueule dans ce fil, qui je l'espère ne vas pas faire peur au nouveau, mais c'est un truc que je vois de plus en plus sur les fofos et un exemple possible en plus...

     

    Aucun problème pour prendre du temps à répondre à des questions quand on sait y répondre, mais perso j'ai pas trop envie de m'amuser à faire du help desk. Les inscriptions pour poser sa question et on contribue que dale derrière merci mais c'est usant à la longue... Nan parce que sinon y'a Google pour ça, où mieux les vendeurs des magasins...

     

    Un petit coup pour nous dire, "cool mon  pb est résolu" ou "ah ben au final j'ai fait ça" c'est appréciable et ça fait plaisir aux gens qui ont participé à résoudre le pb, où du moins qui ont essayé.

     

    ça c'était le coup de gueule en mode vieux con. Faites gaffe ça devient de plus en plus fréquent à mesure que les décennies passent...

  13. Hello,

    Je me permets de détourner le sujet du fil en évoquant un film qui mériterait un article complet de plusieurs pages mais qui, faute de temps, devra se contenter d'un maigre poste ici. Avis aux intéressé pour une oeuvre collective sur le fofo...

    On parle de J. Edgar de Clint Eastwood, dans ma liste des films à voir depuis sa sortie en 2011.

     

    En version synthétique:

    Superbe portrait du fondateur du FBI qui se paye le luxe de faire écho à Citizen Kane tout en glissant de discrètes références aux dérives sécuritaires actuelles. Le tout avec intelligence, style et maîtrise de son support. Je n'ai pu m'empêcher de sourire en songeant à l'affaire Snowden (postérieure au film) et en me demandant si le film ne faisait pas quelques allusions à la NSA. Difficile de juger du caractère historique du film, néanmoins les personnages sont denses, comme la narration. Ne clignez pas de l'oeil, au risque de perdre le fil ! C'est un peu le seul problème de J. Edgar, qui condense 50 ans en un peu plus de 2h. On aurait pu souhaiter un film en deux parties afin que Easwood développe son sujet, parce qu'au final, beaucoup de thèmes et de questions de fond sur la légitimité des actes/motivations des personnages sont posées et clairement la matière est là pour en donner d'avantage là où on est trop habitués à voir du remplissage, mais est-ce un mal ? En marge de se problème se trouve le fait qu'Eastwood est appuie assez lourdement la question, très secondaire je pense, des orientations sexuelles de Hoover et son associé. Mais c'est à côté de tellement de bonnes choses qu'il s'agit plus de finasseries que d'un réel défaut.

    Merci M. Eastwood d'être passé derrière la caméra et de continuer à faire du cinéma au milieu des bouses pop-corn décérébrées qui inonde les salles.

     

    Il va sans dire que la distribution/jeu, la photographie, et la réalisation sont inattaquables.

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