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Gabriel Fauré, Requiem par Seiji Ozawa et le Boston Symphony Orchestra. Dans une version en 7 mouvements. Ne me demandez pas si c'est la deuxième ou la troisième version je n'en sais rien! C'est une vraie messe de Requiem à mon sens parce qu'on y retrouve une certain recueillement et une humilité profonde. J'irais presque jusqu'à dire que cette messe inspire la sérénité et qu'elle est dépouillée de tout aspect théâtrale à l'inverse d'un Verdi ou d'un Mozart. Même si affirmer que le Requiem de Mozart possède un aspect théâtrale est contestable. Pourquoi ne pas l'avoir rangé dans ma liste de coup de coeur? Tout simplement parce que la musique liturgique n'est pas mon fort. 

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Je n'ai pas l'impression, C'est bien Ozawa qui dirige le Requiem de Fauré sur cette vidéo mais ce n'est pas cette version que j'écoute actuellement. Enfin ça importe assez peu, Ozawa a une excellente connaissance du répertoire français et si je me base sur ce premier mouvement le caractère est plus vif et le tempo légèrement plus rapide. Au passage je suis étonné par le nombre de choriste sur la scène j'aurais pensé qu'il y en aurait beaucoup moins vu le relatif dépouillement que l'œuvre inspire.

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Je fais un bond en 2008 : j'étais en stage et je passais mes journées à écouter des mixes de Martin Castello que je trouvais sur le blog SoundsHunter (qui a depuis fusionné avec TrendsNow duquel il était issu à l'origine). Bah ça fait du bien de retomber dessus ! :)

Si Reise avait été une cassette, elle serait démagnétisée tellement je l'ai écoutée :

http://www.trendsnow.net/2008/07/reise-par-martin-castello.html

Reise … un concentré puissant et brutal de minimal.
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Carambar> Personnellement ce type de musique n'a jamais été vraiment ma tasse de thé. C'est quelques chose qui ne me touche pas du tout, sans que j'arrive à dire pourquoi.

Pour me concentrer sur des activités rébarbatives je me mets du Elgar, Variations sur un Thème Original "Enigma". Vous y reconnaitrez certainement la mélodie que Rob Dougan a utilisée dans Clubbed to Death pour la bande originale de Matrix. Et peut-être même le compositeur de la marche Pomp and Circumstance utilisée entre autre dans les remises de diplômes aux Etats-Unis, et qu'on appelle aussi parfois Land of Hope and Glory. D'une manière général j'évite en fond sonore tout ce qui est vocal. Bon évidemment je devrais aussi citer la Rhapsodie sur un Thème de Paganini par mon cher Rachmaninov, mais:

1) ça ne doit pas vraiment aider à se concentrer vu à quel point c'est virtuose

2) ça fait combien de fois que je mentionne ce nom sur le forum, j'ai arrêté de compter^^

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Carambar> Personnellement ce type de musique n'a jamais été vraiment ma tasse de thé. C'est quelques chose qui ne me touche pas du tout, sans que j'arrive à dire pourquoi.

Pour me concentrer sur des activités rébarbatives je me mets du Elgar, Variations sur un Thème Original "Enigma". Vous y reconnaitrez certainement la mélodie que Rob Dougan a utilisée dans Clubbed to Death pour la bande originale de Matrix. Et peut-être même le compositeur de la marche Pomp and Circumstance utilisée entre autre dans les remises de diplômes aux Etats-Unis, et qu'on appelle aussi parfois Land of Hope and Glory. D'une manière général j'évite en fond sonore tout ce qui est vocal. Bon évidemment je devrais aussi citer la Rhapsodie sur un Thème de Paganini par mon cher Rachmaninov, mais:

1) ça ne doit pas vraiment aider à se concentrer vu à quel point c'est virtuose

2) ça fait combien de fois que je mentionne ce nom sur le forum, j'ai arrêté de compter^^

Pareil, s'il y a des paroles que je peux comprendre, toute concentration s'envole.

:)

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Pour moi ça dépend. J'aime suffisamment la musique citée dans mon lien pour l'écouter en faisant autre chose, mais pas plus que ça. Pour me concentrer, la présence de voix importe assez peu (même si ne pas comprendre les paroles est un plus), c'est en fait davantage une question de rythme et d'écarts sonores en décibels. Plus la musique est calme, voire contemplative, plus j'arrive à filtrer le monde extérieur, et au bout d'un moment je n'entends même presque plus la musique. Et ce calme musical m'aide à repasser plus efficacement en mode "mono-tâche". Certaines chansons celtiques (surtout irlandaises) sur le même mode fonctionnent tout aussi bien pour moi (mais ça me donne aussi envie de repartir en vadrouille avec mes chaussures de rando...).

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Au hasard d'un rayonnage je suis tombé sur ce CD d'occasion: http://www.sa-cd.net/showtitle/3109 et insatisfait des versions que j'avais de l'ouverture 1812 jusque là pour diverses raisons j'ai, après avoir longtemps gambergé, demandé à examiner la galette (une rayure sur un SACD ça ne pardonne pas contrairement à un CD standard) avant de me décider. Il est encore tôt pour se prononcer, car impossible de l'écouter comme il se doit avant la semaine prochaine. Chef inconnu et orchestre qui m'avait moyennement convaincu sur deux enregistrement de concerto pour violon de Bach était la raison principale de mon hésitation. Le fait que l'ouverture ait été coupée en quatre pistes et craingnant de fait une coupure dégueulasse en est une autre. Bilan d'une première écoute de l'ouverture, prometteur, je n'ai pas pu écouter le reste pour l'instant. Autres trouvailles de ce dimanche, un exemplaire de l'enregistrement de capuçon sur les variation sur un thème rococo dont j'ai parlé précédemment et des ouvertures et préludes d'opéras de Verdi par Karajan et le Berliner. La encore ce que je vais écrire se base sur une première écoute rapide dans des conditions discutables, mais le Verdi, qui de ces trois disques étaient celui qu'il me tardait le plus de découvrir s'est avéré celui que j'ai détesté. En fait c'est pire que ça, c'était médiocre et sans saveur, chose que je n'aurais jamais cru écrire un jour de Karajan et du Berliner. Enregistrement raté? casque moisi ou simplement une faute de parcours regrettable dans la discographie de ce duo illustre? réponse la semaine prochaine.

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Je l'attends depuis un mois et demi, la sortie d'un enregistrement de Hilary Hahn du concerto pour violon de Tchaïkovski accompagné de la création d'un concerto qui nous est contemporain d'une certaine Jenifer Higdon. Il est arrivé ce matin chez les disquaires. Les américains ont eu la chance de le découvrir avant nous, il semble que DG ait préféré faire coïncider la sortie de cette galette avec la venue à Pleyel de cette jeune virtuose le 14 janvier, et à moins d'un miracle je ne pourrais pas y être! Ne pouvant pas avoir l'enregistrement en physique avant une quinzaine de jours, je ne peux me prononcer que d'après une écoute TRES attentive sur la plateforme spotify.

Autant il est difficile de juger le concerto de Higdon dont le langage moderne m'est complètement étranger et très déconcertant, j'étais impatient parce qu'il me semble que la virtuosité du concerto du maitre russe est typiquement dans le répertoire de prédilection de Mlle Hahn. Son enregistrement du concerto de Mendelssohn, autre pièce maitresse du répertoire, est de loin mon favori aussi mes attentes pour cette nouvelle galette sont très élevées. Un premier point excellent est l'accompagnement orchestrale qui, à peine les premières mesures entamées, impose une carrure remarquable qu'on est habitué à entendre chez le Berliner. C'est presque si on ne s'attendrait pas à voir l'Orchestre de Liverpool voler la vedette à la soliste! Son entrée balaye ce doute avec une certaine nonchalance. La maitrise technique et le jeu très vif et plein d'éclat de la jeune américaine fait merveille, tantôt impétueux, tantôt charmeur mais toujours très volubile et très expressif. Aussi ceux qui lui reprochent justement une expressivité trop marquée risquent de détester, alors que ceux qui comme moi considèrent qu'il est difficile d'être trop expressif sur ce type de concerto seront ravis. On se réjouit également d'entendre que sur cette enregistrement, Mlle Hahn a bénéficié d'un accompagnement orchestrale plus en accord avec son jeu, ce qui n'est pas toujours le cas, je pense par exemple à son album de Bach enregistré avec l'Orchestre de Chambre de Los Angeles et plus précisément au double concerto pour violon dans lequel le deuxième soliste lui était très largement inférieur. En clair rien que pour l'enregistrement de Tchaikovskï cet album vaut le coup, et j'aurais vraiment souhaité le voir sortir en SACD. Pour autant je préfère attendre de pouvoir le comparer avec un autre enregistrement qui arrivera en même temps avant de le placer dans ma liste de coups de coeurs. Celui-ci par son homologue allemande Julia Fischer. Se pose également la question de la pertinence de cette comparaison, car bien que s'agissant de la même oeuvre, l'Allemande a en général une approche plus retenue et moins démonstrative que Hilary Hahn avec des tempi généralement plus lents. Une école radicalement différente en somme. Celui là n'est malheureusement pas disponible sur Spotify, l'attente va donc être très longue!

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J'ai eu la chance de pouvoir obtenir un billet pour le concert du Philharmonique de Radio-France hier, vendredi 14, alors qu'ils accueillaient la géniale violoniste Hilray Hahn que j'ai mentionné plusieurs fois déjà. Elle a présenté le concerto pour violon de Menotti au cours d'un concert sur la thématique américaine. A couper le soufle!

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