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L'UGC des halles fait encore appel à la police.


Laskov

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 Or, la plus jeune a moins de 3 ans. «Du coup, l'entrée nous a été refusée», raconte Eric, l'un des pères, au «Figaro». Mais le groupe passe quand même.

En fait, ya que moi qui ai lu l'article ? Ils sont passés quand même alors qu'on leur a demandé de partir, bah tant pis pour eux.

Nan parce qu'il y en a marre aussi des gens qui font ce qu'ils veulent au détriment des règles et qui après se plaignent.


Faire venir la police, c'est clairement abusé et disproportionné et je reviendrai pas là dessus, mais s'ils étaient partis comme on leur a demandé à l'origine, il ne se serait rien passé... Qu'ils viennent pas se plaindre. Tas d'cons.

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ben au final, tout le monde est en tort : l'Etat pour ne pas avoir remis à jour une loi de 1927, les clients pour ne pas avoir pris en compte la mise en garde, le cinema pour avoir été aussi souple qu'intelligent et les policiers pour avoir été doux et compréhensifs.


 

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Autre hypothèse sans rapport obligatoire avec ce qui est arrivé à cette famille :

pas facile non plus de faire comprendre à des parents (et leur smalla de mômes déchaînés de voir EN-FIN un Disney) qu'ils viennent de faire 70 bornes pour apprendre qu'un de leur marmot, faut de 2 mois sous la tranche minimale, va devoir faire les cent pas dans l'allée centrale à baver devant les pop-corn et à regarder les affiches du prochain "Samedi 14, the retour of the Vendredi 13... After !!!" OU BIEN qu'ils vont devoir faire le deuil d'une soirée complète et rentrer au bercail, tout ça en supportant les pleurs des plus grands qui eux, à deux mois au-delà de la tranche basse, pouvaient rentrer dans la salle, pourrir la vie des autres spectateurs, bref, f***tre autant le boxon que leur petit(e) frère(soeur). Oh oui, pas facile du tout à gérer, surtout durant le retour.

Il y a des limites (d'âge), parfois, qui sont créées par des psychorigides : loi datant de 1927 sauf erreur; le son de ce temps-là étant pourri, très fort, etc.

Et des conneries que d'autres s'empressent de collectionner, allègrement : flics, enfin... plutôt "cow-boys" pour envahir une salle de cinéma.

La meilleure solution aurait été de faire un Disney, crossover de "Blanche Neige invite Freddy Krueger", que ça foute la trouille aux mômes.

Ou qu'il y ait un cinéma bien plus près et bien servi en choix de films (VO, VF). :o

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Question idiote, d'un point de vue légal, le cinema a t'il une obligation de rembourser des places à la demande du client ( avant le début de la scéance, du moins :o ) ?


nan parce que si c'est possible, pour le prochain coup du genre, il suffit que l'ensemble de la salle demande le remboursement : faut frapper là où ça fait mal.


( bon, c'est pas vraiment mon problème : je ne supporte pas le cinéma ; le son y est toujours mal réglé et beaucoup trop fort )

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Petite anecdote amusante, lorsque nous sommes allés voir la princesse et la grenouille, en toute illégalité puisque l'un de nos enfants à moins de 3 ans, nous avons attendu le film en subissant les bandes annonces et les publicités ...

Je rappelle que le film est destiné à un public plutôt "jeune" ... C'est peut être justement pour que les jeunes fassent pression sur leurs parents, comme lors des campagnes publicitaires de noel, qu'il a été judicieusement choisit de passer une pub pour une association s'occupant des enfants victimes de torture, rescapés de la guerre ...

Bref, des images très intéressantes pour mes enfants j'ai trouvé ...

...

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UGC des halles épisode 3 maintenant en salle


 


la police revient encore...



apres le premier épisode sous titré l'attaque de l'homme au sandwich puis sa suite intitulé la petite fille trop jeune voici l'épisode 3 de notre saga de UCG des halle contre tous le monde.



cet épisode est intitulé la boisson de la honte...



voici donc le synopsis du troisiéme épisode...



Noémie, une lectrice de Rue89, était installée dans une salle de l'UGC Opéra, à Paris, samedi soir. Des policiers débarquent alors pour appréhender une femme entrée dans la salle avec une boisson achetée à l'extérieur. C'est la troisième fois en quelques jours que des policiers interviennent dans des salles UGC, pour différents motifs prévus par le règlement du réseau : infiltration d'enfants de moins de trois ans ou introduction d'aliments et de boissons achetés à l'extérieur.



Pendant la séance, Noémie nous a fait parvenir ce message depuis son téléphone portable (nous avons rectifié les accents) :



« Je suis a l'UCG Opéra au moment où j'écris. Je viens d'assister à quelque chose d'hallucinant : UGC a fait venir la police dans le ciné car une jeune femme est entrée avec une canette de soda non achetée dans l'établissement. Elle a payé ses places et son ami a consommé un Coca acheté au ciné. Elle n'a pas accepté de sortir et la salle l'a soutenue. Un procès-verbal leur a été dressé. »



Nous lui avons alors demandé de préciser son témoignage, ce qu'elle a fait ce dimanche, par e-mail :



« Tout cela s'est passé hier soir donc le 13 février 2010, pendant les bandes-annonces de la séance de 19h30 du film “In the Air” à l'UGC Paris Opéra. Nous étions tranquillement installés avec mes amis quand il y a eu du remue-ménage au bout de notre rangée, le premier rang exactement.



Il y avait le directeur de l'UGC et trois policiers en civil avec brassards. Ils étaient auprès d'un jeune couple (entre 25 et 30 ans). Ils ont commencé par parlementer sans faire de bruit quand la jeune femme a expliqué au policier que si le directeur les avait appelés c'est parce qu'elle avait une cannette de Coca Cola dans son sac à main qu'elle n'avait pas achetée dans le cinéma. Elle a expliqué qu'elle et son ami ne sortiraient pas puisqu'ils avaient payé 20 euros pour les deux places et que son ami avait consommé un Coca provenant de l'UGC.



Les policiers ont continué à leur demander de sortir, ils ont persisté dans leur refus. La salle étant assez petite, la raison de la présence des policiers a été vite sue par tout les spectateurs qui ont commencé à protester vivement en disant que c'était n'importe quoi. Certains criaient même “Dehors ! ” aux policiers et au directeur, d'autres disaient qu'il était scandaleux de voir des policiers au nombre de trois en plus pour prendre la tête d'honnêtes gens quand ils n'osent plus aller dans certains quartiers ou qu'ils ne viennent plus lors d'agression.



Les policiers ont encore parlementé, accusant le couple de déranger les spectateurs, le film a commencé et les spectateurs ont encore protesté pour que les policiers sortent. Des spectateurs ont aussi pris le directeur du cinéma à partie, celui-ci leur a répondu assez sèchement de se mêler de leurs affaires, que cela ne les concernait pas. Le ton du directeur était dépourvu de toute courtoisie.



Les policiers, assez mécontents de ne pas être suivis dehors par le couple, ont déclaré : “Puisque que vous le prenez comme ça, contrôle d'identité”. Les deux jeunes gens ont alors donné leurs cartes d'identité dont les policiers ont relevé les numéros pendant que le film débutait. Ne pouvant les faire sortir, ils leur ont dressé un procès verbal avant de quitter la salle, laissant le jeune couple tranquille. Mon amie était du coup terrifiée, elle avait une bouteille d'eau et un brownie qu'elle n'a pas osé sortir de tout le film de peur d'avoir elle aussi affaire à la police si un employé de l'UGC s'en apercevait.



Quant à moi, j'ai immédiatement sorti mon iPhone pour vous contacter, étant donné que vous aviez parlé de l'affaire de la famille et des enfants, j'ai passé la moitié du film à contacter les médias, trouvant ça scandaleux. »



Nous avons recoupé, au téléphone, le témoignage de Noémie avec celui de son amie, Anne-Charlotte. Si vous avez assisté à la scène, n'hésitez pas à nous le raconter dans les commentaires de l'article.



Samedi 30 janvier, dans un autre multiplexe parisien, celui des Halles, des policiers sont entrés dans une salle, à la demande du cinéma, pour déloger une famille qui avait fait entrer une petite fille de moins de trois ans.



Le 27 janvier, toujours à l'UGC Cité Ciné des Halles, des policiers avaient débarqué pour débusquer un homme entré avec un sandwich acheté à l'extérieur. Une histoire similaire à celle de la cannette de Coca. Toutefois, Jean-Marie Dura, directeur général du réseau UGC, a indiqué à Rue89 que « la personne n'avait pas été en mesure de présenter son ticket à l'entrée de la salle ».



L'homme au sandwich avait fini par suivre les deux policiers, nous a raconté un spectateur présent dans la salle.


http://www.rue89.com/2010/02/14/nouvelle-intervention-de-la-police-dans-une-salle-ugc-138404

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C'est décidément n'importe quoi.


Je considère qu'à partir du moment où ils vendent de la bouffe (et qu'il ne s'agit pas de leur fond de commerce, à l'inverse des restaurants/snacks/...), je ne vois pas pourquoi ils pourraient empêcher quiconque d'amener ses cochonneries à manger, quelque soit  le réglement à la con qu'ils veulent imposer (pourquoi pas imposer de ne venir habiller qu'avec des vêtements des marques dont les pubs seront diffusées pendant la séance pendant qu'on y est ? ).*


Un riverain de Rue89, directeur d'exploitation de salles, nous fait remarquer que l'ordonnance du 1er janvier 1927 a été abrogée il y a deux ans. Un changement de loi qui est manifestement passé inaperçu chez UGC.

Lol :o


Que dire d'autre ?

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(pourquoi pas imposer de ne venir habiller qu'avec des vêtements des marques dont les pubs seront diffusées pendant la séance pendant qu'on y est ? ).*

Je me suis fait exactement la même réflexion' date=' mais au sujet du film. Vous allez voir qu'on va y venir, même chez soi (mais sans obligation cette fois) : les films seront des prétextes à l'achat, et toute l'image deviendra interactive et cliquable : pause, puis clic sur l'article que l'on veut acheter, avec numéro de CB mémorisé dans la TV (TV qui sont déjà reliées au net depuis un moment, apparemment).

(EDIT un peu HS : vous avez remarqué tous ces Macbooks dans les séries ? Et il semble qu'Apple ne paie pas un cent pour cette publicité)

Un riverain de Rue89, directeur d'exploitation de salles, nous fait remarquer que l'ordonnance du 1er janvier 1927 a été abrogée il y a deux ans. Un changement de loi qui est manifestement passé inaperçu chez UGC.

Que dire d'autre ?

Il faut aller au cinéma avec un tshirt sur lequel est imprimé l'abrogation de cette ordonnance. Au cas où.

Mais je leur fais confiance pour faire voter en force, si nécessaire, une loi qui leur donnera tous les pouvoirs sur le territoire de leurs cinémas.

Le jour où les scanners corporels vont se démocratiser, on va devoir y passer, au cas où l'on planquerait un sandwich sur soi... :o

Ces faits divers sont tout bonnement incroyables. D'ailleurs, si on m'avait dit il y a 10 ou 20 ans qu'en 2010 il y aurait de telles histoires, de telles dérives, je pense que je n'y aurais pas cru. Personne n'y aurait cru.

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Je pige pas les gens qui mangent, parlent ou téléphonent au cinoche. Ils peuvent le faire en dehors, pourquoi faire chier le peuple ? Je veux dire "devant le film", hein, quelqu'un qui bouffe son casse-dalle pendant les pubs n'est pas gênant. Itou, un gosse en bas âge me hérisse le poil, mais j'avoue qu'en France j'en ai rarement vu, et ils ont rarement pigné.


Pour revenir au débat, de toute manière c'est la réaction qui est disproportionnée. Dans le cas du gars avec son sandwich, il n'embêtait personne, pour le gosse, c'est la faute du cinoche. Faire venir les flics pour un truc qui peut être géré en interne, ça me dépasse...

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Dialogue fictif entre une jeune mère (et son nourrisson) qui veut aller voir un film -- pis d'abord, qu'est-ce que c'est que cette nana qui va au cinoche au lieu de rester chez elle, hein ?! (ironie) :

- Madame, sortez immédiatement de cette salle, vous avez un enfant de moins de 3 ans avec vous !

- Mais... mais c'est mon enfant, je suis en train de lui donner le sein, c'est tout...

- Ah, parce qu'en plus, vous aggravez votre cas ? Non seulement votre enfant n'a pas l'âge requis mais en plus il se nourrit d'un produit non vendu ici.

- Euh... Ok, vous vendez des seins de femme (à part en films de boules) ?"

Faut juste être un peu plus souple.

Tiens, pourquoi ne virent-ils pas ceux qui... fffrrotch... scriiiitch... frfrfrtt... font du bruit en bouffant leur chips, pop-corn, etc. et causent durant le film ? Ces emm*** n'ont qu'à se goinfrer devant leur TV au lieu de faire ch*** le monde.

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Ha, ça, j'avoue que faire quelque chose pour (ou plutôt contre :o ) que ceux qui mangent bruyemment (haaaa le bruit de la main dans le pot de pop-corn et qui le ramasse, ramasse.... mais #@! tu vas finir par la sortir ta main et le bouffer ton pop-corn ?!?! ), ceux qui savent pas fermer le grande #@!, et enfin ceux qui peuvent pas s'empêcher de consulter/envoyer des textos !


C'est pas les flics qu'il faut envoyer, c'est le gign ! :p

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C'était exactement comme ça la dernière fois que j'ai mis les pieds dans un film en VF il y a quelques années. De tous les côtés, ça baffrait, discutait, répondait au téléphone. Il y a même eu des applaudissements plusieurs fois. Je crois que la plupart n'auraient pas râlé s'il y a avait eu des coupures pub pendant le film. On aurait dit que c'était une grande réunion informelle, et que le film était anecdotique, et servait un peu de musique de fond.

J'ai aussi eu la chance d'avoir derrière moi une demoiselle qui avait le bon goût de partager l'odeur de son pop-corn caramélisé en laissant passer les effluves de chaque côté de ma tête en le mastiquant soigneusement la bouche ouverte, le plus bruyamment possible.

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