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Régis Passager - Grandeur et décadence de Kramine


bunee

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Ou L'essor de l'économie nippone par l'introduction du chat-bite au Japon

Nouvelle

Quespire Editeur

Isbn 978-2-9529289-1-5

L'art du loufoque et comment ne pas se prendre au sérieux résumé en quelques 55 pages.

Kramine est Niortais (paix à son âme). Tout petit, ayant grandi dans l'ambiance du stade des chamois et des gradins quasi motié pleins, sa future vocation se révèle à lui: Il sera streaker. Cette activité difficile consiste à, comme vous le savez sans doute, courir comme une gazelle légère sur la verte pelouse d'un terrain de football, les attributs à l'air, et ce jusqu'à ce qu'un stadier vous plaque au sol.

Il exerce régulièrement, avec le soutien de ses parents, jusqu'au jour où un japonais se présente à lui et lui propose d'exercer les mêmes activités à tokyo, devant la foule en délire du dôme.

Kramine débarque en asie, et le succès est immédiat. A un tel point que les adeptes sont nombreux, et que Kramine voit sa célébrité décliner. Par conséquent, il annonce qu'il arrête le streaking. A l'occasion d'une émission dont il est l'invité, il lance un nouveau phénomène: la chat bite.

Et là, le succès est également au rendez-vous. Le phénomène prend une telle ampleur qu'il a un réel impact sur l'économie du pays. Mais la gloire immense de Kramine suscite envie et jalousie. Un vieil ennemi revanchard, "djézone", lui tend un piège et lui inflige ... une gaufrette, qui devient alors un phénomène qui va summplanter le chat-bite!

Mais kramine a plus d'un tour dans son sac.

Bon, comme je disais ligne 1, c'est du loufoque brut de décoffrage, donc ça plaît - ou pas .

C'est loin d'avoir la finesse du loufouque d'un Basara par exemple.... Mais allons, soyons bon joueur: C'est quand même marrant et inattendu.

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C'est vrai qu'il y a des coins chouettes tout autour, du côté de la mer par ex.

C'est surtout la mentalité un peu étriquée qui me gênait. Mais je me suis fait de vrais amis par la suite...

Et puis je venais de Blois, à l'époque. Le contraste était rude. Jamais je ne me perdais dans les petites rues tortueuses et quasi médiévales, même en découvrant. Mais à Niort... tout le temps^^

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