Aller au contenu

Un commentaire pour un film qui ne mérite pas de sujet dédié


Messages recommandés

Il y a 16 heures, Dark a dit :

Notament avec la résolution des énigmes. Sérieusement le créateur d'un jeu online joué par la quasi-totalité de la population a pla,té des easter eggs d sans que personne ne les découvre pendant 5 ans alors que de nos jours des mecs arrivent à décrypter un jeu avant même sa sortie ?

Ben en même temps, si ça ne se passe pas comme ça, y'a pas de script.

Déjà, la résolution Shinning (puisque tu en parles :p) est étonnante par qui la mène.

Lien à poster
  • Réponses 731
  • Créé
  • Dernière réponse

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Messages populaires

Et voilà, le voile a été levé sur le mystère du film mystérieux. Ce soir j'ai été convié avec Mme (et pas mal d'autres abonnés UGC Illimité) à l'avant première d'un film en vue de donner mon avis pour

J'ai vu Les Tontons Flingueurs, enfin. Il est certain que je n'ai pas compris tous les dialogues, qui comportent une palanquée de références et autres bons mots. Peu importe, j'ai passé un excellent m

Oui c'était juste pour chipoter et faire mon chieur, comme les CAP astrophysique sur internet qui trollent sur Interstellar. J'ai toujours trouvé ça con de reprocher à une oeuvre de fiction (plus précisément SF ou fantastique) ou tout simplement un divertissement son "manque de réalisme"

Ce n'est qu'un détail en soi mais en tant que joueur ça m'a fait tiquer. Après c'est un media qui a toujours été difficile de porter au cinéma.

Lien à poster

The gamechangers 

J'avais complètement oublié ce (télé)film, pensant que le projet avait été soit annulé soit suspendu. Finalement sorti en 2015, mais pas en France. C'est l'adaptation non officielle de l'excellent Jacked. Livre qui relate la création de GTA, mais aussi globalement celle de Rockstar, un pseudo biographie des freres Houser et du conflit les opposant avec l'avocat Jack Thompson. Ce téléfilm a été produit sans l'accord de Rockstar et selon wiki des pousuites ont été engagées. Et on comprend pourquoi aprés visionnage.

Déjà, pour des raissons de durée evidente le film démarre à la seconde moitié du livre, un format mini-série aurait été plus judicieux, juste aprés la sortie de Vice City et au moment donc du développement de San Andreas. Zappant donc l'enfance de Sam Houser expliquant son coté rock 'n' roll, ses débuts chez BMG ou DMA avec Lemmings ou Menace. Et donc aussi le parallele avec Jack Thompson evoluant professionnellement en gagnant divers procés notamment contre le groupe de Ice T sur la chanson Cop killer. Dans les deux cas ça aurait mis en place la personnalités des personnages et expliqué leur motivation.

Le film démarre don avec un Sam Houser tyrannique (Daniel Radcliffe) qui enploie toutes les differentes équipes de Rockstar sur le prochain GTA ne leur laissant aucun repos aprés Vice city. Et ça s'arrete là sans explication alors que ce genre de pratique est assez courante dans le milieu sur des titres ambitieux. Là où le livre va parler des tensions dans l'entreprises et diverses greves.

A coté de ça on a un Jack Thompson qui incarné par Bill Paxton est juste impossible à detester au tempérament calme et raisonnable là où le livre le dépeint comme un illuminé catholique, complétement hystérique et obsédé par Rockstar. Sans non plus rentrer dans les détails l'histoire va donc se baser essentiellement sur San Andreas et son Hot cofee se terminant donc par une fin plutôt moyenne où l'on a l'impression que personne n'a réellement gagné. Dans le bouquin le scandale révèle finalement la nature de Thompson qui à force de harcèlements et orientation de témoins se verra radié du barreau, Rockstar s'en tirant plutôt bien malgré la perte de Jamie King, donc le rôle est vraiment réduit par manque de développement. Oui Jack Thompson a forcément subi les foudres des joueurs par des menaces et harcelements mais pas autant que dans le film. Et son fils, de ce que je me souviens, n'a jamais été battu ou insulté.

C'est dommage d'ailleurs que le film ne parle pas non plus de ça. Le fils de Thompson enfant voyait son pere comme un héros vu qu'il n'avait pas accés à ce genre de jeux mais en devenant ado il va finir par ne plus soutenir son père vu que les gosses de son âge vont lui reprocher de voir son pere tenter d'interdire leur jeu préféré. La fin ne montre pas non plus l'aspect bénéfique de ce procés qui a du remettre en question le système de classification de jeux-videos. Ni le bordel que cette histoire a foutu. Pas seulement pour R* mais aussi pour le PEGI et l'ensemble de la profession qui montrait Sam Houser comme un paria.

Dommage aussi que les raisons qui on poussé cette polémique soit limité à un seul drame alors que c'est la résultante de faits bien plus graves comme toutes les tueries et fusillades qui on eu lieu à cette époque.

Par contre tout le traitement sur Hot cofee est bien expliqué, précisant bien que ce n'était pas une fonction cachée et accessible par les joueurs mais bien un mod créé à partir de restes dans le codes. Là aussi monnaie courante dans le JV. De même que le pétage de plomb de Houser quand il apprend qu'il devra retirer tout le contenu sexuel du jeu pretextant qu'il peut et doit faire tout ce qu'il veut dans un JV sous pretexte d'être dans un pays libre. Reste un coté extremement égocentrique surtout de quelqu'un qui voulait surtout être le premier à faire des choses qu'on avait jamais vu dans un jeu avant que quelqu'un d'autre le fasse à sa place.

Dommage que l'on ne voit pas non plus Sam Houser appeler et menacer toutes les rédactions qui ne mettaient pas la note maximale à ses jeux.

Une scene particulierement puante où l'on voit l'avocat priant dieu de lui donner la force de continuer sans devoir détester R*. Comme pour sous-entendre qu'il n'y avait rien de personnel là où le livre se termine avec sa radiation du barreau suite aux tests psychyatriques auxquels il a dû se soumettre.

Au final, un téléfilm tronqué de la moitié de l'histoire avec une représentation quelque peu faussée et édulcorée (des deux cotés), une réalisation peu interressante et une distribution pas terrible. C'est vraiment dommage car je suis assez fan des docu/biopic sur ce sujet comme par exemple King of Kong. 

J'attendais vraiment beaucoup de ce film car le livre m'avait bien plu. Je conseille vraiment la lecture de ce bouquin ne serait-ce par le coté nostalgique sur la partie DMA édité par Psygnosis et des ces titres prestigieux de l'Amiga. Il y a aussi cette video de la chaine de PAUL qui est toutefois un simple copié collé mais trés résumé du livre :

 

 

Lien à poster
  • 4 mois après...

Au fait, même si ça fait un moment qu'il est sorti, s'il est encore à l'affiche par chez vous et que vous ne l'avez pas encore vu, foncez voir BlackKKlansman.

Perso, j'ai adoré.

Et les dernière minutes "tranchent" clairement avec le ton léger du film, "ça calme" comme dirait l'autre.

J'aurais dû en faire une jolie critique bien comme il faut lorsque je suis allé le voir, et vous la pondre dans un sujet dédié car pour moi, oui, c'est un film qui mérite un sujet dédié bien comme il faut.

Lien à poster

Ma copine voulait voir des films d'horreur. Etant un vieux con basé sur les classique je me suis tourné vers les sites tipiak (je sais c'est pas bien).

Hérédité et action ou vérité : j'ai pris ça sans connaitre parce que c'était récent et ça me conforte dans l'idée de rester dans mes classiques. Bon, Hérédité c'est vraiment bon, le film fait son boulot, j'ai vraiment flippé et aimé cette ambiance malsaine, un film vraiment efficace que je recommande.

Action ou vérité, un truc récent qui est dans la tendance des teen movies.Je l'avais pris uniquement car il y a l'actrice de ready player one. C'est vraiment un  truc d'ado extremement dispensable.

Lien à poster
  • 1 an après...

J'ai vu 10 Cloverfield Lane cet après-midi et ai consacré pas mal de temps à réécouter la BO. Pour le coup si j'ai suffisamment de quoi écrire je ferai un sujet dédié.

En substance j'ai passé un très bon moment jusqu'à la fin qui m'a exaspéré et donné envie de balancer un pavé au travers de l'écran.

Lien à poster

J'ai adoré le film, malgré certains aspects de la fin et le lien (autre que dans le titre) avec cloverfiled, que je n'avais pas du tout aimé.

Et y'a John Goodman. Donc le film ne peut être que bon, voire excellent. Si, je suis parfaitement objectif :P .

Lien à poster

John Goodman, que je n'avais vu jouer que des rôles comiques m'a vraiment convaincu dans ce film, idem pour Mary-Elizabeth Windstead que je n'avais jamais vue auparavant. A chaud le lien avec Cloverfield m'était apparu comme très artificiel, et j'ai lu après coup que le scénario avait été réorienté pour l'y relier. Donc je ne sais trop qu'en penser, au delà du fait que j'ai détesté la fin.

Lien à poster

J'ai vu Marie-Antoinette de Sofia Coppola. Le film était dans ma liste depuis quelques années, et faisait partie des trois films de la réalisatrice que je voulais voir avec Virgin Suicides et Lost in Translation. Des trois, il est probablement le plus accessible dans le sens où la structure est très linéaire et le ton est globalement plus léger.

La justesse du ton, aussi bien au niveau de la réalisation que du jeu de Kirsten Dunst est appréciable dans le sens où il sait trouver le juste milieu entre la retenue attendue d'une Dauphine de France et l'émotivité que devraient déclencher les chagrins qu'elle traverse. Cette justesse s'exprime par une certaine pudeur, notamment lorsque Marie-Antoinette perd son troisième enfant et qui est simplement présentée au travers du portrait officiel de la reine et son actualisation: un portrait avec la couche du nouveau né, sitôt accroché et remplacé par le même tableau où la couche est vide. Le plan suivant enchaîne sur le cercueil du nouveau né que le cortège emporte. Un minimalisme quelques peu cruel si on le compare au détail accordé à des événements anodins.

Si certains pourront arguer que le film sonne un peu creux, en dehors des belles images, et épingleront quelques anachronismes et libertés, j'ai pour ma part passé un agréable moment. Comparativement à d'autres films de Sofia Coppola, il est probablement anecdotique mais serait une bonne introduction à sa filmographie.

Lien à poster

Au tour de Zodiac, de David Fincher, qui était sur ma liste depuis de nombreuses années. Peu à écrire sur le sujet, le film est globalement bon et son esthétique m'a par instants évoqué Collateral.  Les acteurs sont convaincants mais à mon sens la réalisation ne parvient pas à instaurer le suspens ou la tension que l'on attendrait de l'intrigue ou de certaines séquences. Je crois toutefois discerner une volonté de rester dans un certain "réalisme", dans le sens où les personnages ne sonnent jamais en tant que tels et m'étaient crédibles. Dis autrement je crois que, à l'exception de celui de Robert Downey Jr, aucun des personnages ne m'a donné l'impression de jouer un rôle. La mise en scène de Fincher est par ailleurs très fluide et propose de très beaux plans.

Lien à poster
  • 1 mois après...

J'ai vu les deux premiers Urban Legends (Urban Legends et Urban Legends: Final Cut) sur un coup de tête. J'ai en effet peu d'intérêt pour ce genre de films.

A mon sens, le second est le plus mauvais des deux entre autres parce qu'il se perd entre son propos très premier degré et une volonté certaine d'avoir un propos méta sur le genre en lui-même. Appuyant donc sur certains clichés éculés, sans pour autant les exploiter ou les renouveler. Ainsi l'ambiance ne prends pas, notamment parce que la mise en abyme voulue par le scénario (il s'agit d'une histoire à propos de la réalisation de films, dans une école de cinéma) désamorce toute tension. L'intrigue use de ficelles plus que grossières pour justifier des situations incohérentes. Par exemple, l'héroïne ne peut pas appeler la police parce que l'un des protagonistes a un casier. Quand la police intervient finalement, elle ne dit rien parce que... et bien parce que. La score de Ottman qui est également le réalisateur ne m'a laissé aucun souvenir ou aucune envie d'y revenir. L'ensemble est sans âme et rapidement oubliable. The Cabin in the Woods qui est sorti 10 ans plus tard est un meilleur exemple de film qui réussit à prendre le contre-pied du genre en remplissant son rôle.

Urban Legends est un slasher classique où les meurtres mis en scènes reproduisent des légendes urbaines sur un campus américain. La mise en scène est efficace, malgré des poncifs et une certaine capacité à créer de fausses pistes. La distribution comprend le lot d'ados tête à claques, quelques personnages plus supportables et quelques gueules cassées tout droit sorties de films de genre. La score de Christopher Young, un habitué du genre, en fait des tonnes sans pour autant démériter. L'ensemble donne lieu à quelques frissons sans avoir besoin d'être trop morbide.

Ayant épuisé mon quota, je ne m'infligerai pas le troisième volet.

Lien à poster

Je me suis infligé une partie de la série des Resident Evil, en laissant de côté les second et dernier volets. Outre le fait qu'ils ne méritent pas de sujet dédié, ce n'est VRAIMENT pas bon.

J'ai également regardé El Camino, le film qui conclut la série Breaking Bad

Lien à poster

El Camino est centré autour du personnage de Jesse Pinkman, après le final de Breaking Bad et propose une conclusion à son arc narratif, en plus de donner la perspective de Jesse sur plusieurs événements de la série. Notamment sur sa période de captivité au sein du gang de Todd. La narration émaillée de flashbacks permet quelques caméos de personnages disparus au cours de la série, sans toutefois que cela dérive dans le fan-service outrancier.
Dans l’ensemble El Camino adopte un rythme posé et pourrait décontenancer, tant pour sa structure un peu décousue que pour son intrigue un peu maigre. Si vous cherchez les étincelles du final de la série, passez votre chemin. Il s’agit en effet de développer le personnage de Jesse et de lui offrir une conclusion qui n’était somme toute pas indispensable.

Lien à poster
Il y a 9 heures, Don_Angelo a dit :

pour son intrigue un peu maigre. Si vous cherchez les étincelles du final de la série, passez votre chemin.

Je plussoie allègrement.

Je m'attendais à quelque chose un peu dans la même veine que Breaking Bad, j'ai été à la limite de l'ennui.

 

Sinon, info perso, j'ai arrêté mon abo ciné. J'y allais de moins en moins (alors que mon "nouveau" taff depuis presque 3 ans est bien plus près), et je supporte de moins en moins les gens en salle : on se tape la discute comme si on était chez mémé, on allume/consulte son téléphone à chaque notif, et si on ose demander à ce que le téléphone ne soit pas allumé, on e fait insulter (d'intolérant, etc.).

J'idorais le ciné, les salles noires, l'ambiance d'un film, et mêmes les r"actions "communes" du public, ou encore les soirée à thème totalement délires (les star waars, retour vers le futur, seigneur des anneaux, ...) où même encore les avant-premières avec questions "je vais répondre et passer pour un con" (et oui, j'ai chanté le générique de l'agence tout risque dans le micro et gagné ... un poster ? :D ).

L'attitude de ces branleurs et autres irrespectueux, et le manque de réactions des ciné auront eu raison de moi.

Lien à poster

The old guard: j'ai regardé le film juste après avoir dévoré le comic book. J'ai adoré la bd et j'ai vraiment apprécié le film, qui n'est pas une adaptation mais bien une transposition du livre à l'écran. Tout est respecté, des personnages au scénario. Même certaines répliques sont reprises telles quelles dans le film. A voir et surtout à lire. J'ai même hâte d'oublier la bd pour mieux la redécouvrir dans quelques mois.

Bloodshot: Film d'action adaptant la série de Valiant Comics dans sa version relancée. On va pas se leurrer d'illusions: c'est un film d'action bas du front avec Vin Diesel qui fait son Vin Diesel. Ca tire, ça bastonne, ça saute, ça fracasse des murs et ça philosophie dur sur la vengeance. Le film est tellement second degré et bardé de clichés qu'il se moque même de lui-même à grands coups de répliques très "métas". A voir pour l'exercice et quelques chouettes séquences (notamment celle dans la farine. Oui oui, de la farine...) et à oublier aussi vite pour (re)découvrir en bd ce perso malheureusement ignoré du grand public (notamment les deux arcs scénarisés par Jeff LEMIRE).

Tiens, et si dans la continuité, je me faisais un petit Ninjak vs. Valiant universe ?

Lien à poster

+1, pour chacun des avis sur ces 2 films.

Je ne savais pas que The old guard était une BD, faudra que je matte ça.

Le truc que j'ai trouvé bien dans bloodshot, c'est l'arnaque à la mémoire et les exactions que ça a permis; pour le reste, tu as parfaitement décrit l'essence du film et de son personnage principal ^_^

Mince, l'épisode de la farine ne me revient pas là, *se creuse les méninges* édit : ha oui ayé ça me revient !

Une BD aussi ? diantre.

Lien à poster
Il y a 14 heures, Dude76 a dit :

Le truc que j'ai trouvé bien dans bloodshot, c'est l'arnaque à la mémoire et les exactions que ça a permis; pour le reste, tu as parfaitement décrit l'essence du film et de son personnage principal ^_^

Une BD aussi ? diantre.

Bah oui, et depuis 1992. Y'a plein de bon trucs chez Valiant Comics.

bloodshot_6_coversc.jpg

Lien à poster
  • 3 semaines après...

J'ai loué Prémonitions (en VO Solace) qui avait attisé ma curiosité à sa sortie, sans toutefois que je ne me décide à le voir à l'époque.

 Difficile de résumer l'intrigue sans trop en dire, l'affiche en disait à mon sens déjà trop. Globalement convenable, le dénouement de l'intrigue est raté et souffre d'un rythme un peu bâtard en se reposant trop sur son postulat surnaturel: Le tueur et le personnage de Hopkins peuvent voir l'avenir et le passé. Le scénario utilise des idées intéressantes notamment sur les questions morales et les motivations du tueur, propices à des développements que le film ne fait qu'effleurer. On pourra déplorer également un manque de tension, ce qui est dommage pour un thriller.

Lien à poster
  • 3 mois après...

J'ai regardé Terrain Miné de et avec Steven Seagal. Un film connu pour quelques répliques cultes qu'on trouve sur le net, et qui je crois fait partie de ces films dont le doublage l'élève à un autre niveau. J'ai eu à coeur de vérifier cette impression en visionnant le film doublé en français et dans sa langue originale.

Si je ne m'explique pas la présence de Michael Cain dans la distribution, qui cabotine dans le rôle d'un vilain caricatural au dernier degré, son personnage est assez représentatif du film et des poncifs et autres discours moralisateurs qui émaillent le film. Il m'est impossible d'en recommander le visionnage, car les moments les plus drôles sont les répliques cultes que l'on trouve aisément sur le net, la faute à une réalisation qui se prend trop au sérieux et des personnages sans relief. L'essentiel de l'intrigue étant posé dans les cinq premières minutes du métrage.

Quitte à aligner les poncifs, j'ai surtout regretté la lenteur ressentie et le ton trop grave par rapport à la mièvrerie de l'intrigue. C'est globalement très mou et il me semble que le film aurait mérité un peu plus d'exubérance. Il n'y a que la sincérité du message écologiste, qui s'ajoute à quelques dialogues potaches pour sauver un film ennuyeux.

Lien à poster
  • 4 semaines après...

×
×
  • Créer...